Nous avons depuis cette expérimentation rencontré de nombreux désagréments.
Quand nous souhaitons passer avec les clés de la barrière les autres véhicules se collent au nôtre et nous obligent à « faire la circulation » et perdre un temps considérable. Les voitures qui n’ont pas encore compris que la place n’est plus pratiquable en voiture se trompent et embolisent la place, tout comme les camions de livraison. Certains véhicules se garent même devant les barrières.
La place est devenue également une autoroute à vélos qui ont bien pris leurs aises et il faut doubler de vigilance par rapport à avant lorsque cette place était « partagée » par plusieurs types de véhicules.
Il faudrait rappeler éventuellement aux cyclistes qu’ils ne sont pas prioritaires, ni censés utiliser le trottoir…
Les scooters et motos qui arrivent à grande vitesse sur la place créent finalement davantage de bruit qu’une circulation raisonnable / raisonnée.
Cette « pietonisation» encombre également fortement les artères à proximité et rend la circulation infernale non seulement pour les habitants de la place et du quartier mais aussi pour ceux qui doivent simplement emprunter cet itinéraire.
Enfin pour nous en tant que résidents il était bien pratique de pouvoir se garer sur la place, de décharger nos courses, la poussette de 12 kg ainsi que notre petit urbain de saint cyprien et nous avons dû déployer des trésors de logistique depuis cette expérimentation qui a été un fardeau pour nous.
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