Bien que louables dans leur intention, une gestion exclusive d'un service de réparation de vélos généreraient des dépenses de fonctionnement continuelles qui ne sont pas conformes à la directive budgétaire du Budget participatif, qui consiste à majoritairement générer des dépenses d’investissement et non de fonctionnement. En effet la mise en place et la maintenance de telles installations exigeraient des ressources humaines et financières importantes. La collectivité ne dispose pas des ressources nécessaires pour entretenir ces équipements de manière efficace et durable.

Dans l'objectif de maîtrise et de rationalisation des coûts, comme cela est pratiqué dans les autres agglomérations françaises, un tel service doit être nécessairement associé à un autre service existant (par avenant au contrat actuel) ou via un nouveau contrat multiservices qui serait lancé dans ce mandat : c'est la faisabilité juridique, technique et financière d'un tel assemblage qui est actuellement recherchée par les services.