Géothermie, bois... attention aux effets collatéraux

Sur le papier tout cela semble intéressant et ce sont des pistes intéressantes et pour partie nécessaires; mais les effets collatéraux doivent prescrire certains types de solutions : - géothermie de surface ou de profondeur : réchauffement et assèchement des zones à proximité (exemple en Alsace), sur un territoire argileux où les effets du réchauffement climatiques, tels que les successions de retraits et de gonflements des terrains, sont déjà très significatifs; donc solution à proscrire en zones construites; - le bois énergie : quid de la qualité de l’air ? Une politique de la ville qui repoussent inexorablement l’usage de la voiture intra-muros pour ces effets d'émission de particules dans l'air ne peut pas, en zone urbaine habitée, envisager en parallèle l’installation de centre de combustion ; c’est un non sens vis à vis de la qualité de l’air.